Lélélé à Hombori
Voila où nous irons peut-être pour le 31 décembre :
http://lelele.skyrock.com/
Le gars a l'air sympa. Les critiques sont généralement bonnes.
Voila ce qu'écrit un des derniers voyageurs étant passé chez lui (janvier 2008) :
"Je me reveille avec le village à 6h45. Un verre de café au lait à la main, j’assiste au levé du soleil passant derrière le relief. Rien de mieux pour commencer la journée.
Mon moulin à café me manque… Car ici comme ailleurs en afrique, le café c’est un Stick de Nescafé et une cuillère à soupe de lait en poudre Nido. Avec le café ,j’ai droit à de la patte à beignet frite (comme en cote d ‘ivoire) et des galette de farine de riz frites elles aussi. Pour oublier le “gras”, je plonge le tout dans du miel collecté en brousse. Il a un gout très fruité, comme de la confiture. J’essaie de retrouver ce fameux village, en vain.
Avec le jour, je découvre le campement “chez lélélé“ , réalisé en banco. C’est bien fait. Seul problème, en dormant sur le toit et mangeant dehors, je suis en permanence à la merci du vent et de la poussière. Je m’y suis fait.
http://lelele.skyrock.com/
Le gars a l'air sympa. Les critiques sont généralement bonnes.
Voila ce qu'écrit un des derniers voyageurs étant passé chez lui (janvier 2008) :
"Je me reveille avec le village à 6h45. Un verre de café au lait à la main, j’assiste au levé du soleil passant derrière le relief. Rien de mieux pour commencer la journée.
Mon moulin à café me manque… Car ici comme ailleurs en afrique, le café c’est un Stick de Nescafé et une cuillère à soupe de lait en poudre Nido. Avec le café ,j’ai droit à de la patte à beignet frite (comme en cote d ‘ivoire) et des galette de farine de riz frites elles aussi. Pour oublier le “gras”, je plonge le tout dans du miel collecté en brousse. Il a un gout très fruité, comme de la confiture. J’essaie de retrouver ce fameux village, en vain.
Avec le jour, je découvre le campement “chez lélélé“ , réalisé en banco. C’est bien fait. Seul problème, en dormant sur le toit et mangeant dehors, je suis en permanence à la merci du vent et de la poussière. Je m’y suis fait.
Pour me laver il y a deux jolies cabines de douche de 4m2 chacune elles-aussi en banco, et à ciel ouvert. On se lave à l’aide d’un récipient que l on plonge dans une jarre d’eau. Je retrouve les mêmes habitudes qu’il y a 8 ans au Tchad et en Cote d’Ivoire. Apres 3 semaines de voyage, j’apprecie ces moments de toiletage car la poussière est partout sur moi. Pour les toilettes, il y a les laterines sèches. Rien de très différent par rapport aux toilettes turques. ULtra facile, car c’est en Inde que j’ai chopé la technique…"
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